Des situations diversifiées selon les ports

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Chaque port a ses spécificités. À Pasaia, le terminal de manutention de voitures neuves considéré comme étant l’un des plus efficients d’Espagne permet d’embarquer le matériel roulant fabriqué par le constructeur ferroviaire espagnol CAF. Au sud, Séville, qui n’est pas un acteur traditionnel du colis lourd, joue des coudes. En juin 2019, une tour éolienne géante (135 m de long en quatre tronçons) a été embarquée.

À Tarragone, l’autorité portuaire met en avant ses 28 ha d’espaces disponibles, ses rampes ro-ro, la capacité des grues (35 t) et la profondeur des quais (16 m), qui permettent d’embarquer les gros ouvrages. En 2019, le port a démarré la livraison aux États-Unis de gaz industriels fabriqués par le groupe allemand Linde, soit plus de 5 300 t en tout.

Enfin, Algésiras est un cas particulier puisque TTIA, l’un des deux manutentionnaires de conteneurs, filiale du sud-coréen HMM, a développé en parallèle une activité significative dans le colis lourd, avec pas moins de 17 opérations en 2019 principalement en transbordement.

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