Après les « ports morts », les gestes commerciaux

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Le 5 décembre, les dockers amarrent les piquets de grève sur les quais, colère en bandoulière contre le projet de réforme qui doit accoucher d’un régime de retraite universel en lieu et place des 42 actuels, dont ceux dits spéciaux.Le 17 février, soit plus de deux mois plus tard, les députés entament l’examen du projet de loi pour une session parlementaire qui doit, en théorie, durer 3 semaines mais que les 41 000 amendements déposés vont sans doute éterniser, à moins que le gouvernement décide de passer en force. La commission spéciale retraites n’étant pas parvenue à bout des quelque 22 000 amendements déposés, c’est la version du gouvernement qui a été présentée aux parlementaires.Entre temps, les ports ont eu le temps de « mourir » plusieurs fois. Hors débrayages classiques, ils auront vécu quatorze jours d’opérations « ports morts » par session de 72 heures. Le concept, lancé par la Fédération…
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