Pourquoi le RIF peine à convaincre

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En cinquante ans, le pavillon français est passé de la 4e à la 30e place des flottes mondiales. En réaction, la France a créé un second registre. Quinze ans après sa création, seuls 86 navires de transport, 169 navires de travaux et services maritimes et 74 yachts de plaisance professionnelle sont armés sous le registre international français. Une maigre pêche.

Créé en 2005, le registre international français (RIF) a pris la suite, en tant que pavillon français bis, du registre des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF), dit « pavillon Kerguelen », dont la création remontait à 1986. Il offre le même niveau de sécurité que le premier registre, mais bénéficie de conditions largement dérogatoires au droit social français: seulement 25 à 35 % d’Européens au sein des équipages selon que l’acquisition du navire bénéficie ou non d’aides fiscales, d’exonérations d’impôts et de contributions sociales pour les marins, etc. Le RIF a enregistré ses premières immatriculations…
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