En 2019, Rotterdam a traité 469,40 Mt, dont 325,84 Mt en entrées. Le saut de puce de 0,1 % par rapport à l’exercice précédent se traduit par un troisième record successif, mais témoigne du ralentissement des échanges internationaux au second semestre. À fin juin, la hausse des volumes était encore de 3,4 %. Elle a fondu comme neige au soleil durant les six mois suivants.Les vracs liquides sont restés quasiment stables, à 211,21 Mt grâce à la très bonne tenue des hydrocarbures (+ 3,9 %, à 104,40 Mt) et en dépit de la baisse prononcée des produits pétroliers (– 12,2 % à 68,16 Mt). Le GNL s’est inscrit en hausse de 36,6 % à 7,15 Mt.Les vracs secs ont connu un recul plus prononcé de 4 % à 74,49 Mt, lié à la désaffection du charbon, dont une bonne partie est destinée à l’Allemagne.Les marchandises diverses progressent sur tous les tableaux. Les incertitudes entourant le Brexit n’ont pas entamé…
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