Le GNL, carburant de transition ou de substitution?

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Le GNL a deux handicaps lourds: il est considéré comme un carburant de transition quand l’ammoniac, le méthanol et surtout l’hydrogène font figure de carburants de substitution et sa crédibilité n’est toujours pas admise.Ne répondant que partiellement au traitement de toutes les émissions générées par le transport maritime, en particulier pour le CO2, le gaz naturel n’en reste pas moins « la technologie de carburant la plus avancée de l’industrie maritime à ce jour », conviennent les principaux intéressés.Néanmoins, il ne concerne qu’une part marginale de la flotte mondiale. Peu de navires consomment aujourd’hui du GNL comme combustible principal. L’infrastructure de soutage reste limitée en termes d’échelle et de disponibilité. Les volumes vendus sont faibles, autour de 500 000 t.Selon l’organisme de promotion Sea/LNG, il y a actuellement 170 méthaniers en exploitation carburant au GNL et 184 navires en commande. Le secteur de la croisière, et notamment…
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