Outil de dialogue ou prémices d’un conflit

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Depuis le mois de mai, les incidents autour de la péninsule arabique ont réactualisé la menace de blocage du détroit d’Ormuz. Pétroliers, drones, installations pétrolières sont victimes, comme en 1987, d’attaques sans qu’il soit possible d’en attester l’origine. Les victimes sont iraniennes, saoudiennes, britanniques mais aussi émiraties, japonaises et norvégiennes, trois pays favorables à la cause de l’Iran. Contrairement à 1987, des pavillons de complaisance ont réagi : sous la pression américaine, Panama a par exemple condamné l’utilisation de son pavillon pour des activités illicites et l’a retiré à 75 navires liés à l’Iran. Des ports ont aussi refusé leur accès et l’autorité du canal de Suez a émis des restrictions.

Chaque événement a provoqué une augmentation du prix du pétrole, mais finalement timide et éphémère. Le marché est tiré vers le bas par l’économie mondiale en dépit…
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