Les ports peuvent difficilement faire l’impasse sur leur empreinte carbone alors que l’industrie du transport maritime est sommé avec empressement de montrer « patte verte ».Fournir de l’énergie électrique côté terre à un navire à quai pour alimenter ses moteurs auxiliaires, qui régissent les équipements de manutention et autres services à bord (climatisation, chauffage, éclairage, frigos…), a émergé ces dernières années comme une des solutions aux émissions atmosphériques (oxydes de soufre SOx, oxydes d’azote NOx, dioxyde de carbone CO2 et particules fines) générées par les navires dans les ports. La connexion électrique à quai a pour autres avantages de traiter certaines pollutions sonores dues aux vibrations des moteurs et de pouvoir offrir aux clients armateurs (en particulier de paquebots et de ferries) un brevet de vertu environnemental à faire valoir auprès de leurs passagers devenus intransigeants à l’endroit de la planète.Qu’elle…
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