Selon la parole officielle, plusieurs ports ont essayé de s’équiper au cours des trois dernières années, comme Venise et Livourne par exemple. Mais visiblement, le courant a eu du mal à passer. Trop cher pour Venise. Le port a rapidement jeté l’éponge après une analyse sur les coûts et les bénéfices. Il a été dissuadé par les difficultés techniques liées à l’incompatibilité entre les équipements proposés à terre et les installations des navires. Mais si le port du Nord-est italien a renoncé officiellement au cold ironing en 2017, il étudie d’autres technologies qu’il estime « plus modernes et plus vertes comme le GNL ». L’an dernier, le président de l’autorité portuaire s’est engagé à devenir le premier hub de l’Adriatique pour la fourniture et le stockage du gaz naturel liquéfié.Face aux pressions de l’Union européenne, qui invite les pays membres à accélérer sur ces questions…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?