L’Italie et les routes de la soie, concrètement?

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Les Chinois sont avertis. Les ports de Trieste et de Gênes ne deviendront pas des colonies de l’Empire du Milieu. « Personne ne peut devenir majoritaire dans les ports de Gênes et Savone, notre législation ne le permet pas », plante le président du site portuaire génois, Paolo Emilio Signorini. Des propos qui trouvent un certain écho chez Zeno D’Agostino, son homologue de la place portuaire de Trieste. Depuis la signature en mars dernier des accords entre Rome et Pékin, dans le cadre des nouvelles routes de la soie, certains opérateurs craignent d’être rapidement accommodés à la sauce pékinoise. « La Chine étant un partenaire puissant, nous devons rapidement délimiter les confins de l’alliance pour sauvegarder au mieux nos intérêts. Exceptée l’augmentation certaine des échanges commerciaux, elle doit nous permettre de renforcer les flux des investissements chinois », affirme pour sa part Alberto Banchero, président des agents maritimes à Gênes.Entre 2017 et 2018, les exportations…
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