L’enjeu le plus controversé du secteur portuaire

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« Les robots ne paient pas d’impôts et ne votent pas », pouvait-on lire sur les pancartes. Cela ressemble à s’y méprendre à une de ces luttes sociales « à la française » mais au pays du libéralisme le plus décomplexé, les États-Unis et qui plus est, à Los Angeles. La scène est vieille de quelques jours (au moment où nous mettons sous presse).Là, la colère des syndicats (dont l’International Longshore and Warehouse Union) se déverse sur l’opérateur portuaire APM Terminals pour contrarier la volonté de la filiale de Maersk d’aller vers une plus grande automatisation de son installation ouest-américaine. Le manutentionnaire cherche à introduire 130 véhicules sans pilotes à son terminal Pier 400. Une des conditions, fait-il valoir, pour que « le port de la côte Ouest reste concurrentiel par rapport à ses homologues de la côte Est et du golfe du Mexique ».L’on ne trahira pas APM Terminals en l’épinglant…
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