Selon l’organisation représentant les industriels de la chimie (900 entreprises, 1 300 établissements, 165 000 salariés en France), le mode fluvial ne capterait que 4 % des trafics de la filière à l’échelle nationale et 6 % dans le bassin Rhône-Saône. L’étude*, présentée fin mai à Lyon, mandatée par France Chimie et en partenariat avec Compagnie nationale du Rhône, Voies navigables de France, le port de Marseille-Fos, l’État et l’UE, a été réalisée en vue de changer la donne.Les objectifs de l’étude étaient clairement définis. Il s’agissait de réaliser un « état des lieux exhaustif » de la filière chimie au sein d’une région qui reste le principal pôle de production chimique en France, où les flux transportés sont principalement structurés entre la région Paca et le pôle lyonnais, centre de gravité de la filière régionale, mais encore d’identifier les…
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