Pour le conseiller institutionnel de CMA CGM, « il y a encore des choses à faire pour que le Rif devienne compétitif ».Il ne comprend pas pourquoi « les marins en formation à terre ne bénéficieraient pas des exonérations de charges dès lors que leur destin est bien de naviguer ». Sur le contrôle des normes, qui relève de l’Inspection du travail, il appelle de ses vœux un référentiel propre au maritime (amiante, produits chimiques), avec un dialogue avec l’administration qui soit « positif ». Comprendre, sans doute: moins strict.Il salue le déverrouillage du numérus clausus à l’entrée de l’ENSM (passé de 100 à 130 pour répondre à la pénurie des officiers) mais estime que « cela ne sera pas suffisant » et qu’il faut « aménager des formations anticipant les futures compétences requises par l’exploitation du GNL, des scrubbers et les usages numériques ».Quid de la réforme…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?