Du port à port au porte-à-porte

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Ils « faisaient » du port à port. Voilà qu’ils se mettent à vouloir faire du porte-à-porte au nom d’un nouvel évangile: devenir des « intégrateurs mondiaux de la logistique des conteneurs ». Comprendre: contrôler l’expédition de bout en bout. Intégrer la partie terrestre. Là où se situent encore des réservoirs de flux, que seule la logistique permet d’aspirer. Maersk en a fait le vœu pieux en se donnant 5 ans. CMA CGM, qui a avalé un des 10 premiers leaders mondiaux de la logistique, prêche dans le même sens mais en le court-circuitant de vitesse. Pris isolément, la stratégie des deux armateurs, qui n’a pour l’heure pas fait de disciples déclarés (nul doute qu’ils seront scrutés), paraîtrait anodine dans un monde sans tensions, aux frontières entre les métiers figées, au pré carré des différentes parties prenantes strictement respecté. C’était antan, où les affaires se diligentaient…
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