Les normes, qui sont aujourd’hui celles des services conteneurisés avec des ULCS de 15 000 à 23 000 EVP, ont évidemment un impact considérable sur les opérateurs de terminaux. Face à l’accroissement des volumes de boîtes à traiter à chaque escale, qui peut s’élever à 9 000 EVP, le secteur de la manutention est mis à rude épreuve au regard de la cadence des opérations de déchargement/chargement et de la logistique sur terminaux. La réponse résiderait dans une automatisation totale des terminaux.En Europe, APMT a été le précurseur en adoptant le système des AGV, plateformes aptes à recevoir des conteneurs de 20, 40 et 45 EVP, circulant automatiquement sur des circuits allant des portiques aux zones de stacking ou autres. La formule a fait ses preuves. On élimine les chariots-cavaliers et les conducteurs, mais pour de nombreux experts, le « straddle carrier » est opérationnellement plus pratique et flexible. APMT Rotterdam est allé plus loin en…
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