Brexit: Un point de vue belge

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Un Brexit, soft ou hard? Fin 2018, le suspense était toujours de rigueur et il en sera encore de même au cours des prochaines semaines jusqu’à ce que le parlement britannique, qui a repoussé en décembre l’accord négocié par Theresa May avec l’UE, se prononce. Un consensus au moins: si Brexit il y a, quelles que soient ses applications, des deux côtés de la Manche, personne n’est prêt, qu’il s’agisse des infrastructures de contrôle devenues nécessaires ou des hommes composant la chaîne de traitement. Sur le continent, du Nord au Sud, c’est l’expectative mais aussi l’inquiétude. D’aucuns anticipent un chaos. D’autres envisagent de nouvelles opportunités. Certains craignent de voir les ports nord-européens en profiter pour augmenter leurs parts de marché au détriment des autres avec une éventuelle bénédiction de l’Europe (?). L’enjeu est effectivement de taille: l’UE exporte pour 290 Md€ vers le Royaume-Uni, contre 170 milliards en retour. La géographie…
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