Les entreprises chinoises sont prêtes à planter leurs drapeaux sur le port de Trieste, considéré par la Chine comme une magnifique porte d’entrée en Europe dans le cadre de la nouvelle route de la Soie (initiative One Road, One Belt). C’est du moins ce que laisse entendre Zeno d’Agostino président de l’autorité portuaire dans un entretien accordé au site Asia Times. « Pour développer le port de Trieste et notamment la nouvelle zone franche, nous avons besoin de 1,2 Md$ et des investisseurs chinois sont déjà prêts à contribuer à la hauteur de la moitié de cette enveloppe », a déclaré le patron du 14e port européen. En ajoutant aussi, que d’autres opérateurs étrangers, et notamment originaires d’Iran, Kazakhstan, Azerbaïdjan, Turquie et Malaisie, frappent également aux portes de Trieste. Les autorités portuaires résument ainsi leur pouvoir d’attraction: « nous sommes les seuls à pouvoir offrir un système de logistique intégrée…
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