Réparation navale: des rapports de force insoutenables?

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En matière de réparation navale, les sites européens historiques, tels Rotterdam ou Hambourg, sont aussi soumis à rude épreuve avec une double concurrence tant des pays d’Europe de l’Est que d’Asie, qui elle, n’épargne aucun segment du marché, ni la maintenance ni les opérations plus complexes de refit, peut-on lire dans une étude de l’Isemar (État des lieux de la réparation navale, octobre 2016), esquissant une géographie mondiale du secteur sur lequel il n’y a pas de déterminisme. Le maître du jeu reste l’armateur, dont les arbitrages sont fonction certes de son besoin (entretien technique programmé ou avarie) mais aussi de la complexité du navire et de sa zone d’activité. « Entre chantiers d’un même bassin, la concurrence est rude et dépend de multiples facteurs: coûts salariaux, évaluation monétaire, aides d’État, disponibilité des infrastructures et de l’outillage, compétences techniques, présence d’un tissu de sous-traitants…
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