Sentiment obsidional

Article réservé aux abonnés


Pas une rencontre, manifestation, colloque inter-portuaires sans qu’il ne soit question de lui, le report modal, estampillé « véritable outil de pénétration de l’hinterland ».En dépit des ambitions affichées depuis une décennie (sans remonter au-delà de la réforme portuaire) dans plusieurs plans, lois et autres Grenelle de l’environnement, dont les engagements devaient se traduire dans les grands projets stratégiques, les ports français cherchent toujours le trousseau de clés pour déverrouiller leur part modale. La volatilité des promesses (« initiales ») politiques n’aide certes pas. Au lieu d’être des traits d’union entre terre et mer, les ports maritimes restent des culs-de-sac. Et ce n’est pourtant pas faute d’entendre les litanies, factuelles, didactiques ou volontaristes. « Quand on développe un port, il faut s’occuper de ce qui se passe sur les quais mais aussi à terre ». « Le port n’est pas la destination finale de la marchandise.…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Édito

Archives

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15