Que dit le rapport?

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Selon l’ONG Transparency International, il y a faiblesses structurelles dans le financement de l’organisation si bien que les États ayant le plus grand nombre de navires immatriculés contribuent davantage au financement de l’OMI (en fonction de la taille de leur flotte mesurée en tonnes de port en lourd) et cette situation « leur octroie du pouvoir sur l’entrée en vigueur d’une politique et son moment ». Selon les règles actuelles, les deux tiers des contributions financières de l’OMI proviennent de dix pays seulement. Neuf des dix premiers contributeurs à l’OMI occupent actuellement des postes élus au Conseil de l’OMI, seules les Îles Marshall n’y sont pas représentées. « En fin de compte, il y a un risque que quelques États entravent l’élaboration des politiques en matière de changement climatique, si les conséquences économiques s’avèrent préjudiciables à leurs intérêts. Cela pourrait retarder, affaiblir ou interdire une stratégie…
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