Le cas Gioia Tauro

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Dans son rapport sur les impacts des alliances, l’OCDE a mis en exergue les difficultés qu’un port rencontre quand il est mis en balance par ces organisations. Situé en Calabre, le terminal à conteneurs de Gioia Tauro est emblématique des impacts sur les ports de transbordement. Depuis quelques années, la décroissance de ses trafics est constante. Sur les trois dernières années, le port a perdu 17,5 % de ses flux. Cette baisse s’explique par sa dépendance étroite à l’armement MSC, par ailleurs actionnaire de la société exploitant le terminal. Car l’alliance 2M (Maersk, MSC) n’utilise le terminal que pour les navires MSC, ceux de Maersk, indique le rapport, préférant toucher les ports du groupe comme Port Saïd, Algésiras ou encore Tanger Med. Le premier armement conteneurisé mondial a cessé d’inscrire Gioia Tauro dans ses escales après avoir quitté le capital de la société en charge de la gestion. Une des raisons invoquées par Maersk concerne l’absence de liaisons intermodales…
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