Il est principalement concerné par les relations entre l’UE et le Royaume-Uni et de surcroît caractérisé par des rotations fréquentes, régulières et à flux tendus. « C’est surtout la partie marchandise qui sera impactée par les formalités supplémentaires, puisque le Royaume-Uni n’a jamais fait partie de l’espace Schengen. Pour les navires ro-pax, les passagers pâtiront forcément des retards liés aux formalités douanières », estime Blandine Huchet.
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