Le « livre blanc » de Theresa May délivre à cet égard plusieurs options. Selon la première, la Grande-Bretagne percevrait des droits de douane pour le compte de l’UE sur les importations en provenance de l’extérieur de l’UE. Une seconde viserait une facilitation maximale avec des déclarations en ligne préalables qui éviteraient aux camions de devoir s’arrêter. Enfin, le Royaume-Uni percevrait distinctement sur les marchandises entrant sur son territoire les droits frappant des biens destinés à l’UE, et ceux frappant les biens devant rester au Royaume-Uni. Les droits revenant à l’UE lui seraient reversés, et un système de remboursement serait instauré vis-à-vis des entreprises qui auraient payé des droits indûment perçus. « Sans être spécialiste des systèmes informatiques douaniers, la probabilité pour que les systèmes nécessaires soient développés par les autorités continentales et britanniques, puis diffusés et mis…
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