Anvers et Gand, cas particuliers

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Aujourd’hui minime et marginal, le trafic de céréales à Anvers fut jadis une réalité. L’effondrement de l’Union soviétique a eu pour conséquence de réduire à peu de chose son rôle en tant que port céréalier. En 1980, ce trafic représentait pourtant 7,85 Mt. Des cargaisons en provenance d’outre-mer étaient déchargées, stockées et réexpédiées vers la Russie. En 2001, les flux n’atteignaient déjà plus le million de tonnes. En 2017, un trafic maritime d’un peu plus de 343 000 t était enregistré au déchargement, composé de diverses céréales, notamment de l’orge, destinées essentiellement à la consommation domestique. Au chargement, Anvers a touché son point le plus bas jamais atteint, avec 23 000 t.Entre-temps, une spécialisation s’est développée sous l’impulsion de la coopérative française Axéréal, spécialisée dans la production de malt…
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