Grâce à son nickel dont il est l’un des pourvoyeurs mondiaux avec 9 % des réserves et trois grands producteurs – VNC qui produit du sulfate de nickel et du cobalt de haute pureté, SLN et KNS qui produisent du ferronickel pour les aciers inoxydables destinés notamment à l’industrie aéronautique –, Nouméa pourrait avoir un choix de riche: rester un port « principal » sur le trajet de la ligne « tour du monde » et défendre davantage sa position de plateforme de transbordement face à Fidji. Ou accepter de ne plus être relié aux routes maritimes que de façon secondaire après transbordement à Tauranga (Nouvelle-Zélande) ou à Sydney (Australie), devenu extrêmement performant grâce à un terminal entièrement automatisé.« Il y a actuellement une volonté politique de mettre les moyens pour permettre au port de Nouméa de rester compétitif sur les lignes commerciales de la région », avait répondu indirectement…
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