À l’exception de Dunkerque, la part du marché du transport fluvial baisse dans les ports maritimes français. Les infrastructures restent une solution. Le Comité des armateurs fluviaux, à l’occasion de son assemblée générale fin juin à Paris, a rappelé quelques « nécessités ».Le rapport du Conseil d’orientation des infrastructures a recommandé une réévaluation substantielle des moyens financiers de Voies navigables de France (VNF). « Cette proposition s’inscrit dans la volonté du gouvernement de doter la France d’un complexe industrialo-portuaire sur les réseaux de desserte de ses différentes façades maritimes », rappelle Didier Léandri, son président délégué général.50 % des marchandises transportées en fluvial ont pour origine et destination un port maritime. « C’est dire l’extrême dépendance du fluvial à l’égard du maritime. Il faudrait que le portuaire et le maritime…
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