La convention du travail maritime de l’Organisation internationale du travail (OIT), adoptée en 2006 et entrée en vigueur depuis 2014 pour les navires sous pavillon français, établit au niveau mondial les normes minimales en matière de conditions de travail, de santé et de sécurité applicables à bord des navires. Elle a été modifiée par plusieurs amendements adoptés au cours de la troisième réunion de la commission tripartite spéciale qui s’est réunie à Genève, du 23 au 27 avril 2018. Les marins sont désormais mieux protégés en cas d’attaque à main armée ou d’actes de piraterie. « Lorsque, à la suite d’actes de piraterie ou de vols à main armée à l’encontre des navires, un marin est tenu en captivité à bord du navire ou ailleurs, le salaire et autres prestations prévus dans son contrat d’engagement maritime, la convention collective ou la législation nationale applicables continuent de lui être versés,…
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