Le 10 mai 2017, le président brésilien, Michel Temer, signait le décret des ports (9.048/2017) dans le but d’assouplir le fonctionnement du secteur. Ce nouveau cadre législatif, jugé plus rassurant et efficace par les acteurs portuaires, devait permettre de renouveler aisément les contrats de concession conclus après 1993, pour une durée de 70 ans maximum. Les procédures d’autorisations préalables pour les nouveaux terminaux devaient être simplifiées, tout comme les démarches pour les extensions supérieures à 25 %, dans le cas de terminaux localisés en dehors d’un port organisé.Les principales associations professionnelles se réjouissaient de ce feu vert, tandis que le gouvernement estimait à 25 milliards de réals (5,8 Md€) les investissements destinés à étendre et moderniser les infrastructures portuaires brésiliennes, à l’horizon 2021. Une seconde phase était même prévue, visant à augmenter l’autonomie des administrations portuaires…
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