JMM: Cette année, les tables rondes de votre événement font manifestement la part belle aux technologies, notamment la blockchain et les risques cyber. Cela détonne avec les précédentes éditions davantage axées sur des questionnements géopolitiques: le Brexit, l’Afrique, la globalisation… Que faut-il en déduire?Patrice Gilbert: Il faut y lire l’évolution d’un rendez-vous dans le temps. Le Cesam n’est qu’une cheville ouvrière de ce rendez-vous. Ce sont les acteurs du marché, en l’occurrence les sociétés d’assurance composant le GIE, qui choisissent les sujets. Ils sont donc le reflet des préoccupations du marché français du moment et de la place française de l’assurance transports, qui est notamment en train de s’organiser sous la bannière de ParisMat.De tous temps, les assureurs se sont adaptés à l’émergence de nouveaux risques. La raison d’être d’un assureur est de ne pas être trop en avance avec des garanties dont personne n’a…
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