Être assureur dans le transport maritime n’est pas un long fleuve tranquille. L’augmentation de la taille des porte-conteneurs et des ports, le cumul des valeurs de marchandises embarquées, la concentration des marchandises à bord ou à quai, le piratage des systèmes d’informations, la piraterie des mers… les risques débordent de toutes parts et rendent de plus en plus difficile la prévisibilité. La filière française de l’assurance maritime et transports se défend plutôt bien sur un marché mondial estimé à 27,5 Md$ (23,3 Md€), se classant au 5e rang mondial.
Agenda
Le dessin du mois
Article réservé aux abonnés