Après six années de crise, les professionnels de la croisière envisagent la saison 2018 avec optimisme.Mer émeraude ourlée de sable fin, petits villages coloniaux nichés au pied de collines à la végétation luxuriante, samba et carnaval… La carte postale du Brésil n’aura pas suffi, ces dernières années, à remplir les bateaux de croisière. Durant l’été 2010-2011, 20 navires croisaient sur les eaux brésiliennes, avec à leur bord 205 000 passagers. Mais depuis 2012, ce marché est en berne, observant un repli de 55 %. Le manque de compétitivité du Brésil, doublé par la récession économique, a conduit les compagnies maritimes à réduire la voilure. Ces dernières ont alors privilégié des destinations présentant un rapport qualité-prix plus alléchant, de meilleures infrastructures et une plus grande demande.
Vers un renouveau?Des destinations en Amérique centrale, la Chine ou encore les Émirats arabes unis se sont affichées…
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