Un an et demi après l’introduction de la fameuse réforme portuaire qui devrait redessiner les contours du panorama portuaire, l’heure est au bilan. La « cure de la mer » mise en place par le ministre des Infrastructures et des Transports, Graziano Delrio, a fonctionné. Si de nombreux patrons des autorités portuaires se plaignent de leur manque d’autonomie économique, tous estiment que le regroupement de certains ports, qui a entraîné une diminution du nombre d’autorités, est une « bonne chose » permettant de rationnaliser les investissements et de développer les autoroutes de la mer. « Le réseau des autoroutes de la mer représente 772 liaisons hebdomadaires à partir des ports italiens, 2 millions de mètres linéaires de soutes, soit l’équivalent de 2 000 km, 70 % des navires RoRo sont gérés par des armateurs italiens et les autoroutes de la mer permettent de transporter 84 MEVP de marchandises contre 109 M sur les navires cellulaires », estime Ennio…
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