Les discussions qui reprendront en mai devraient permettre de déboucher sur une plus grande coopération entre Anvers et Zeebrugge, voire une fusion des deux ports. Chacun énonce ses arguments. Des négociations qui interviennent, pour certains, dans le contexte des prochaines élections communales.
Au chapitre des arguments zeebrugeois en faveur de la fusion, cela se traduirait par une économie pour les armateurs et les chargeurs, qui se répercuterait par une baisse de moitié des droits de port et une diminution des implications administratives. Des navires touchant les deux ports ne paieraient qu’un seul droit de port. D’aucuns plaident pour une ligne ferroviaire directe entre les deux ports, voire jusqu’à North Sea Port (Gand/Terneuzen/Flessingue). Ce même plaidoyer se tient également pour de meilleures liaisons fluviales.
Côté anversois, les partisans de ce projet sont ouverts à la coopération, qui a d’ailleurs déjà été entamée, mais sans être demandeur d’une fusion. Néanmoins, ils refusent l’idée…
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