Si les acteurs du transport maritime sont bien conscients à l’heure actuelle que, malgré tous les projets de la technologie et en dépit des nombreux textes législatifs réglementant cette activité et destinés à la sécuriser en imposant un certain nombre de contraintes, le risque zéro n’existera jamais. L’erreur humaine ou la panne, le black-out stoppant les machines ou rendant inopérants les instruments de navigation peuvent toujours survenir. Et lorsque le mauvais temps s’en mêle. Les pétroliers double-coque, présentés à une époque comme la solution miracle laissent beaucoup de spécialistes sceptiques.Le gigantisme des derniers porte-conteneurs dont les soutes représentent à elles seules la cargaison d’un petit pétrolier, les produits contenus dans les conteneurs – certains produits toxiques ne sont pas visibles comme le pétrole mais peuvent être bien plus nocifs comme l’indique Stéphane Doll, le patron du Cèdre – et la puissance nécessaire pour remorquer…
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