Chaque année, au mois de janvier, les analystes parient sur la reprise du marché des vracs secs. Le mois de janvier apporte son lot de points positifs. Le Nouvel An chinois, qui se déroule pendant le mois de février, oblige les autorités locales à importer en masse. Viennent ensuite les désillusions pour aboutir au même constat: l’année n’a pas été bonne. Un scénario qui se répète depuis 2009. En 2017, les choses ont quelque peu changé. En fin d’année, les fondamentaux d’une reprise de l’économie des vracs secs se sont consolidés. Les craintes de voir se répéter les mêmes effets n’ont pas eu lieu d’être. La publication des résultats des grands noms de cette filière laisse entrevoir une année 2018 qui devrait malgré tout permettre aux armateurs de revenir dans le positif.Si la fin d’année a été bonne, 2017 ne restera pas gravée dans les mémoires sauf à avoir vu les indices du Baltic Dry Index plonger et descendre à…
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