Splendeur et décadence de l’industrie navale brésilienne

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Un nouvel âge d’or, c’est ce dont rêvaient les acteurs de l’industrie navale au Brésil. Un rêve qu’ils ont touché du doigt. Après l’apogée dans les années 1970 et la longue traversée du désert qui a suivi, le secteur renaît de ses cendres au cours des années 2000. Luiz Inácio Lula da Silva, alors président du Brésil, décide de relancer la machine en 2003. Pour booster une industrie moribonde, le gouvernement profite des découvertes de méga champs offshore et impose une politique protectionniste, la règle de contenu local: Petrobras doit atteindre en moyenne un quota de 65 % pour la production locale de ses plateformes et sondes.Selon son instigateur, cette politique présente deux principaux avantages. Elle permet de réduire les sommes déboursées par Petrobras pour affréter des embarcations (soit un coût annuel estimé à 2,1 milliards d’euros), tout en favorisant une filière créatrice d’emplois.Les commandes de Petrobras et de Transpetro, sa…
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