Une attitude nuancée entre le nord et le sud face au projet chinois Obor

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Lancé en 2013 par le gouvernement chinois, le projet OBOR (One Belt One Road) s’inscirt dans la volonté du gouvernement de l’Empire du milieu de renforcer les liaison entre l’Asie, les pays d’Asie centrale et l’Europe. Des deux alternatives proposées, l’une par la mer et l’autre par voie ferroviaire, le gouvernement chinois ne lésine pas sur le financement de réhabilitation et de création de nouvelles infrastructures de transport. Si d’aucuns restent sceptiques sur les intentions réelles du gouvernement de Pékin, d’autres voient dans ce programme une nouvelle forme d’invasion chinoise. En France, les deux attitudes co-existent. Au nord, Haropa se dit plutôt confiant et semble vouloir tirer profit de ce projet.Avec leur nouvelle route de la Soie, les Chinois veulent rétrécir les distances avec l’Europe en favorisant le fret ferroviaire. Le projet est devenu une réalité puisque début novembre, le groupe Gefco, acteur dans le domaine de la logistique industrielle et leader européen de la logistique automobile, a réceptionné…
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