Nouméa ne fera jamais d’ombre au 10e port mondial, Port Hedland (Australie), et ses 450 Mt de trafic annuel, ou à Tauranga (premier port de Nouvelle-Zélande) et son million de conteneurs annuels, et encore moins aux sept principaux ports chinois classés dans les dix premiers mondiaux en termes de tonnage et d’activités. Qu’on se le dise. Néanmoins, avec un trafic de 5 Mt annuelles, le premier port de l’Outre-mer français (devant Point-à-Pitre en Guadeloupe et le port de La Réunion qui totalisent chacun 3,8 Mt) et neuvième port français (juste devant La Rochelle et Sète) reste au cœur de la vie économique de la Nouvelle-Calédonie. Le port autonome de Nouvelle-Calédonie (PANC) est un établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) qui a pour mission d’assurer l’administration, l’entretien, l’exploitation et le développement du millier d’hectares que compte le port de Nouméa et des installations portuaires de Wé, sur l’île de Lifou. En petite…
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