Le parent pauvre de l’Europe

Article réservé aux abonnés


De Liverpool à Las Palmas, les ports européens de l’Atlantique peinent à se placer comme porte d’entrée de l’Europe. Ils disposent d’une position géographique de premier choix puisqu’ils sont les premiers ports touchés depuis les États-Unis, et les navires en sortie de Méditerranée passent devant leurs terminaux. Pour les armements, la desserte de l’Europe doit se faire par le Sud ou le Nord, le front de l’Atlantique est oublié. Seul port à tirer son épingle du jeu, le port de Sines, à proximité de Lisbonne, dépasse le million de conteneurs. Les autres sont loin derrière. Même le port de Las Palmas, dont son rôle de hub avec l’Afrique reste encore important, frôle le million à 917 000 EVP. Liverpool, Leixoes ou encore Dublin et Bilbao n’ont pas une position suffisamment stratégique pour devenir des ports de première importance en Europe. Les quatre ports français de cette côte totalisent ensemble 300 000 EVP. Si Nantes-Saint-Nazaire dispose encore…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Conteneurisation:

Archives

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15