« Les capacités nautiques du terminal du Verdon, port en eaux profondes, et ses vastes disponibilités foncières (100 ha) confortent le port de Bordeaux dans sa volonté de développer au Verdon de nouvelles activités industrielles et logistiques (vracs industriels et énergétiques, logistique », peut-on lire dans le règlement de consultation du nouvel appel à candidatures, émis le 7 juillet par le Grand port maritime de Bordeaux. Désireux de tourner la page d’Europorte, ex-candidat à l’exploitation du Verdon qui s’est retiré du projet en mai 2016, le GPMB anticipe l’après-mars 2018, date de la fin de la convention de mise en régie. En quête d’un nouvel exploitant sur le long terme, il rappelle les points forts de ce terminal situé à la pointe de l’estuaire: un quai de 552 m de long, un tirant d’eau de 12,5 m, un embranchement ferroviaire, une zone franche douanière et fiscale… mais aussi son potentiel pour développer du trafic conteneurs. « Les…
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