Depuis l’annonce le 1er juillet 2017 par gouvernement d’une « pause » pour la vingtaine de projets de nouvelles infrastructures de transports dont fait partie le futur canal à grand gabarit Seine-Nord Europe (SNE), la mobilisation des élus, des collectivités, des organisations professionnelles représentatives, des acteurs économiques et des associations a gagné en ampleur. Leur objectif est de convaincre le gouvernement qu’il faut poursuivre le projet SNE.Le gouvernement a expliqué la « pause » par des raisons financières: il y aurait un écart de 10 Md€ entre le coût des projets à financer et les ressources disponibles sur les 5 ans à venir pour honorer tous les engagements pris par l’État pour la réalisation de nouvelles infrastructures de transport. La « pause » doit aussi permettre la conduite des « Assises de la mobilité », lancées le 19 septembre, concertation sur les orientations de la politique des transports. Cette démarche doit…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?