Le torchon brûle entre l’It alie et l’Union européenne

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Pour Rome, l’intervention de l’Union européenne (UE) dans la gestion de la crise migratoire veut dire déblocage d’aides économiques, bien sûr, mais également une prise en charge des migrants selon le principe de la répartition admis par l’UE. Le gouvernement italien réclame aussi l’ouverture des autres ports des partenaires comme ceux de Marseille et Barcelone aux navires des ONG qui repêchent les migrants en mer et les débarquent systématiquement en Italie. Cette demande a déjà été refusée par la France et l’Espagne. Afin d’obliger ses partenaires à céder, l’Italie a haussé le ton et menacé de fermer ses ports. « La Convention du droit de la mer de 1982 autorise l’entrée des navires étrangers dans les eaux territoriales à condition que cette opération ne mette pas la sécurité des côtes de l’État en question en danger, mais la violation des normes en vigueur sur l’immigration peut être interprétée comme…
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