Au premier trimestre, notamment en janvier et février, le trafic maritime girondin a connu un ralentissement avec des volumes de marchandises en baisse de 8 % par rapport à 2016: – 160 000 t pour un trafic total de 1,77 Mt. Port céréalier, Bordeaux est impacté fortement par des exports de vracs céréaliers moindres de 35 % (– 80 000 t), « dus aux mauvaises récoltes sur le sol français lors de l’été 2016 et à une production étrangère très concurrentielle », explique Étienne Naudé du Grand port maritime de Bordeaux.
RalentissementUne conjoncture qui de fait a impacté l’import d’engrais dans les mêmes proportions. Dans le secteur des graines oléagineuses, avec l’industriel Saipol aux manettes, le ralentissement est également de mise à l’import (-70 000 t), un différentiel s’expliquant par « une augmentation importante et un phénomène de liquidation des stocks l’an dernier ».En…
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