Cinq constats sur l’avenir des carburants alternatifs en navigation intérieure européenne

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Le gaz naturel liquéfié (GNL) est considéré comme un carburant prometteur pour une navigation plus propre. Le premier bateau fluvial propulsé au GNL a été mis en service il y a six ans. Depuis lors, certains progrès ont été réalisés, surtout sur l’axe rhénan où quelques bateaux neufs et un porte-conteneurs existant ont été équipés d’une propulsion au GNL. Plusieurs ports ont commencé à faciliter l’approvisionnement en GNL. Toutefois, il apparaît que l’euphorie initiale s’est estompée. Alors que le secteur maritime passe au GNL, la filière fluviale perd du terrain. Cinq constats peuvent être dressés pour expliquer cette situation. Les solutions relèvent d’une mobilisation des acteurs du fluvial et du monde politique.
Les constats1. L’approvisionnement en GNL évolue de manière satisfaisante dans les ports maritimes, mais il est encore trop cher et d’un accès peu flexible dans l’arrière-pays.L’utilisation du GNL par les…
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