En 2016, l’ensemble des taux pour les navires transportant du pétrole brut et des produits raffinés a quitté les sommets atteints en 2015. Le marché s’est retourné même si tout n’a pas été mauvais, explique le chapitre consacré aux pétroliers du dernier rapport BRS.Au premier trimestre, les revenus des transporteurs de brut sont restés à des niveaux relativement élevés dans la poursuite des gains « stratosphériques » de la fin de l’année 2015. La chute vertigineuse a commencé au deuxième trimestre et s’est aggravée au troisième. Elle s’explique par « les faibles marges de raffinage, des réserves élevées et pas d’augmentations substantielles de la capacité de raffinage » qui « ont fait stagner la demande des transporteurs de brut ». L’accélération de la croissance de la flotte a aussi joué un rôle important avec 97 VLCC livrés en 2016, soit le nombre le plus élevé…
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