Le site, qui doit en principe accueillir la filière de l’éolien offshore, a fait pourtant l’objet de toutes les études de sol. Avec l’organisation des quatrièmes Assises nationales des énergies marines renouvelables et de la convention d’affaires Seanergy, qui se déroulent localement les 22 et 23 mars, certains acteurs voient déjà dans le choix du Havre un signe annonciateur de bonnes nouvelles dans les prochains mois. Cet événement, organisé en présence de Ségolène Royal, ministre de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer, chargée des relations internationales sur le climat, a justement pour ambition de faire le point sur le futur des énergies renouvelables en France. Parmi les bons signes perçus localement, on peut citer le protocole d’accord conclu en fin d’année entre Haropa Port du Havre et Adwen, le porteur du projet havrais. Ce processus pourrait aboutir à la finalisation d’un titre domanial au premier semestre 2017. Le titre formaliserait l’autorisation d’occupation…
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