L’objectif du ministère est de porter le nombre de touristes visitant le Japon de cette manière à 5 millions d’ici à 2020, alors qu’ils ont été 1,99 million en 2016, près de cinq fois plus qu’en 2014. Cependant, le coût est élevé, jusqu’à 1 milliard de yens (8,8 M$) par port. Le ministère envisage donc un schéma privilégiant les partenariats entre les pouvoirs publics locaux et les opérateurs touristiques. Les municipalités ou les autorités provinciales s’occuperaient de la construction de quais adaptés à l’amarrage des plus gros navires de croisière, de l’aménagement des accès routiers et de la desserte des lieux, tandis que les croisiéristes se chargeraient de la construction de terminaux d’une taille suffisante pour effectuer rapidement les opérations d’enregistrement, d’immigration et de douane. Ces compagnies auraient alors un accès privilégié et prioritaire à ces ports, mais les terminaux seraient également…
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