Manutention portuaire espagnole: la cartographie des acteurs de la réforme

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L’Europe a deux griefs: l’obligation faite aux entreprises de la manutention d’entrer au capital des sociétés de gestions du personnel (Sagep), et de recourir prioritairement à celles-ci pour leurs besoins de main-d’œuvre. Le décret-loi royal en date du 24 février lève ces deux obligations, mais va plus loin. Il prévoit la disparition progressive des Sagep sur une période de trois ans, ce que le tribunal européen ne demandait pas explicitement. La réforme ouvre la possibilité aux manutentionnaires de recourir au personnel des entreprises de travail temporaire, sous réserve de respecter un certain nombre de critères de qualification professionnelle. Le décret-loi a cependant été rejeté par le parlement espagnol le 16 mars.Le principal opposant aux velléités de réforme du gouvernement est le syndicat Coordinadora Estatal de Trabajadores del Mar (CETM), appelé Coordinadora. Certes, il existe d’autres organisations, membres des confédérations espagnoles (UGT, CCOO, etc.), mais Coordinadora…
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