Les débrayages CGT dans les ports ont raison de la taxe carbone sur les centrales au charbon.Un meeting devrait avoir lieu sur le sujet le 27 octobre à Gardanne, dans les Bouches-du-Rhône. Mais la CGT, par ses débrayages autour des centrales à charbon dans les ports de Nantes-Saint-Nazaire, Gardanne et Le Havre a obtenu depuis déjà une semaine le report, voire l’abandon de la taxe carbone spécifique qui pesait sur elles.Les centrales thermiques doivent acquitter, à partir du 1er janvier 2017, un prix plancher de 30 €/t de C02 émis, un engagement unilatéral de la France pris par François Hollande lors de la COP 21. Mais qui, selon la CGT, mettait en jeu 5 000 emplois. « Plus d’un millier », selon Christian Eckert, le secrétaire d’État au budget. Dans la nuit du 20 octobre, quelques heures après ces arrêts de travail, celui-ci, en pleine discussion sur le budget à l’Assemblée nationale, a laissé entendre que la mesure pourrait être amendée, voire abandonnée dans…
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