« L’insécurité maritime prend des formes diverses – kidnapping, piraterie, brigandage, pêche illégale, trafics, siphonage de fuel, pollutions marines, etc. – qui requièrent une approche globale et coordonnée sur le long terme », ont rappelé le Cluster maritime français, Armateurs de France et le Gican. Le soutien des organisations françaises est aussi guidé par les intérêts nationaux qui opèrent dans le golfe de Guinée. « Malgré une volonté affichée par de plus en plus de pays africains, la protection en mer et le rétablissement de l’ordre dans des eaux livrées à la piraterie et au brigandage de combustible peuvent encore paraître trop irréguliers », continuent les organisations maritimes. Elles souhaitent que les pays apportent des précisions sur plusieurs points, et notamment en encourageant l’établissement d’une sécurisation effective et permanente, par les services des États de la région des routes maritimes,…
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