Dans leur rapport publié le 14 octobre, la FIDH (Fédération internationale des droits de l’Homme) et le CENIDH (Centre nicaraguayen des droits de l’Homme) appellent le gouvernement du Nicaragua à mettre un terme à son projet. Il causerait de « graves dégâts », indique les deux organisations pour lesquelles le canal du Nicaragua « présente de nombreuses violations des droits humains ». De plus, l’étude démontre que le régime de concession octroyé à la société chinoise HKND (Hong Kong Nicaragua Developpement) est exceptionnel. « Un régime dans lequel les garanties constitutionnelles et légales prévues par le droit nicaraguayen ne sont pas respectées, tout particulièrement en ce qui concerne les droits à la propriété, à un logement adapté, à l’eau, à l’alimentation, le droit de vivre dans un environnement sain et le droit à des consultations préalables, libres et informées. » Par…
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